Un beau matin, j'étais donc en plein exercice, complètement nu, quand j'ai vu entrer un gars vers sept heures et demie.
Avant que je n’ai eu le temps de me précipiter dans le vestiaire pour récupérer un short, il m’avait vu. J'étais en train de l'enfiler (le short!!!) lorsqu'il est entré. Il me dit bonjour et me lança avec ironie: "Alors on a pris froid, d'un coup!". Son air m'a un peu énervé, alors je suis retourné dans la salle sans lui adresser la parole.
Peu après, il est apparu , portant un boxer rouge et un t-shirt blanc.

Il a grimpé sur le vélo à côté de moi, on s'est souri, histoire de clore l'incident, et on s'est présentés.
Il était plutôt sympa, et je pensai déjà que quelque chose pourrait se passer dans un avenir proche.
Il faut dire je voyais sa verge qui bougeait au rythme des coups de pédale et que la vue de cet organe remplissant bien le sous-vêtement me donnait l'eau à la bouche.
Après s'être dépensés encore un bon moment, il me proposa de nous reposer un peu. J'étais partant.
Il retira son t-shirt, et s'allongea à même le sol. Je l’imitai. On resta comme ça, quelques minutes, le temps de reprendre notre souffle. Moi j’admirais ses pectoraux puissants.
Alors que nous nous relevions pour nous diriger vers le vestiaire afin de nous désaltérer à la fontaine, il passa derrière moi, plaça ses bras sous les miens et me souleva en me tirant les épaules par derrière et en éclatant de rire. “Tu es léger comme une plume pour moi!”, me dit-il.

C'était très agréable; d'autant plus que je sentais bien sa pine respectable au bas de mon dos.
Ainsi maîtrisé, il m'entraîna dans un coin retiré du vestiaire. Il n’y avait personne.
Là, je suis tombé à genoux devant lui, j'ai frotté mon visage contre son boxer plein à ras bord, et j'en ai extrait une bite bien gonflée qui s'est raidie contre mes lèvres. J'ai commencé à la lécher et la sucer de plus en plus fort tout en entrant mes mains dans son boxer par derrière, pour lui caresser les fesses et glisser mes doigts dans sa raie.
Lui soupirait fort et me disait tout bas: "Oui, oui, c'est ça... Allez, enfourne-la dans ta bouche... Ohh... Je vais jouir...".
Mais je ne voulais pas qu'il jouisse si vite, alors j'ai arrêté de le sucer.
Il s’est approché d’un banc et s'est couché sur le dos.
"Vas-y, donne-moi ta queue !"

Je me suis placé au-dessus de lui, les jambes de chaque côté du banc. Il a fait glisser mon short le long de mes cuisses. Mes fesses au dessus de son visage, j'ai poussé ma bite vers le bas pour la lui mettre en bouche.
Je le voyais sucer avec conviction ma queue bien pleine. Lui, bandait toujours, la queue sortie de son boxer.
Sa pine me faisait très envie, je me disais que je n'avais qu'à me baisser pour qu'elle frôle ma raie.
J'éprouvais le désir de la sentir en moi, mais je n'avais pas apporté de capote (c'est con, non?).
Alors qu'il me pompait le gland doucement en me caressant les couilles, je lui fis part de mon désir. Ça lui disait bien, à lui aussi!
Il se releva, ouvrit son sac, et en sortit le précieux petit emballage.

A mon tour je me suis allongé sur le dos , les fesses juste au bout du banc, les jambes pendantes, et je l'ai attendu.
Il déroula le latex sur sa jolie bite, saisit mes jambes et les posa sur ses épaules.
Pour faciliter la manoeuvre je ramenai mes genoux contre ma poitrine afin de bien dégager mon cul, tandis que d’une main, j'écartai mes fesses un peu plus.
Il se mit à frotter son gland recouvert contre mon cul
- j’ai toujours trouvé que le contact du latex avec la zone de peau qui entoure le trou, là ou c’est très sensible, a quelque chose d’hyper excitant- puis contre la base de ma queue qui se dressait.
Son sexe se promenait entre mes couilles et la raie, jusqu'à l'orifice qui n'attendait que lui.
Ses doigts commencèrent à ouvrir le passage.
Il m’enfonça un puis deux puis trois doigts sans difficulté. Il les écartait en moi pour me dilater, ce que je supportais avec jouissance.
Enfin, après avoir introduit un quatrième doigt, il les retira brusquement et, sans me laisser souffler, il fit entrer son gland en moi.
Je serrais les fesses pour lui donner encore plus de plaisir.

A la faveur de mes contractions successives et de ses poussées douces, je le sentais progresser et me remplir de plus en plus.
Lorsqu'il est arrivé à m'enculer jusqu'à la garde, j'étais tout chose, ma queue était complètement figée et raide, comme si elle allait exploser. Je n'osais plus me caresser, de peur d'éjaculer tout de suite.
Il se mit à aller et venir doucement dans mon rectum, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Je prenais mon pied, pourtant ses assauts devenus brusques et rapides me faisaient un peu mal.
Je sentis que je ne pourrais plus tenir longtemps et que j’allais jouir.
Je lui dis et il se retira brutalement, me laissant une impression de vide très stimulante.
Il se baissa pour me sucer.
Tout de suite j'ai éjaculé dans sa bouche.
Il a aspiré mon sperme qui venait en lui en grandes saccades brûlantes.
Délaissant ma queue, il se mit à me lécher la rondelle, qu'il couvrait par la même occasion de mon propre foutre, le laissant couler doucement entre ses lèvres.
Alors il se remit en position et, cette fois, aidé par la dilatation résiduelle et par la lubrification naturelle, il pénétra en moi très facilement et là, perdant toute mesure, il m’enfila frénétiquement.
La totalité de ses 20 cm étaient en moi.
Dans un gémissement il explosa, remplissant la capote de sperme.
Encore quelques coups et le voilà qui s’affale sur moi.
Alors j'ai laissé mes jambes lui retomber sur les épaules, le temps de reprendre notre souffle.
Je sentais que sa bite en moi était encore agitée de soubresauts.
Puis il s'est retiré, et, à ma demande, il a précautionneusement retiré le préservatif, l'a placé au dessus de ma bouche ouverte et l'a retourné pour laisser son propre sperme couler sur mes lèvres, ma langue et me brûler la gorge.
Fétichiste, je le suis.

Alors, comme à chacun de mes amants, je lui ai demandé s'il acceptait de m'offrir un sous-vêtement.
Il a réouvert son boxer, y a replacé sa queue débandée couverte de foutre, puis l'a retiré sensuellement, l’a agité au-dessus de mon visage et l’a laissé tomber.
Je l’ai ai longuement respiré.
Je me suis relevé, je l'ai enfilé à mon tour et mis mon short par dessus.
Je sentais sur ma pine l'humidité de son sperme; ce contact m’excitait à nouveau.
Lui, sans rien demander en échange, a remis son pantalon de survêtement directement, sans rien dessous et, sans un mot, est parti.
J'ai hésité à prendre une douche car j'avais envie de garder sur moi cette odeur de sueur et de foutre mélangés.
Alors j'ai enlevé à nouveau mon short et me suis promené dans le vestiaire et la salle de muscu, portant juste son boxer rouge. Je me surpris à me caresser à nouveau au travers.

Finalement, je quittai la salle en ayant juste remis un t-shirt.
Dans la rue, je croisai des gens, qui ne semblaient pas choqués outre mesure de me voir dans cette tenue; il est vrai qu'ils ne se doutaient pas de ce qu'avait vu et subi ce boxer rouge...
En décidant de relater cette histoire, j’ai eu envie de porter à nouveau ce souvenir tout en écrivant et, de plus en plus excité au fure et à mesure que mon récit avançait, j’en ai maculé l'intérieur de “précum”, comme disent les américains.
Et ce n'est qu'un début, devinez ce que je vais faire maintenant!