Ayant pour consigne de tout vérifier le soir et de m'assurer qu'il ne reste personne, je commence mon tour par les cabines individuelles et j'arrive au vestiaire collectif.
J'y vois, étendu sur un banc mural, un mec en train de dormir à plat ventre.
En m'approchant de lui j'admire le galbe de son dos et ses petites fesses moulées par un très court maillot de bain.
Ses jambes sont longues, fines et à peine duveteuses.
Je le secoue et, au bout d'un moment, il se réveille.
D'une voix pâteuse, en se retournant, il me dit :
" Qu'est-ce qu'il y a ?
Je lui réponds :
"Eh, mec ! T'es à la piscine et on ferme !".
D'un mouvement sec il se lève et me dit :
" - C'est vrai?
- Regarde, je lui réponds en lui montrant ma montre".
Il tourne la tête. C'est un jeune de 18 ans environ, gueule d'ange blond, un torse superbe, imberbe avec deux tétons qui ressortent.
" - J'ai la tête en vrac. On a fait les cons avec les copains avant et, en venant ici, j'ai du m'endormir sur le banc, me dit-il. Je peux prendre une douche?
- Bien sûr, lui dis-je, j'allais prendre la mienne".
On va vers la douche collective et, en le suivant, j'admire son superbe corps d'adolescent.
Arrivés à la douche, alors que, normalement, tout le monde se lave en maillot, je le vois baisser son slip en me tournant le dos et un petit cul de rêve, imberbe, rond et musclé, souligné par les limites de bronzage du maillot, m'apparaît.
Je me mets sous le jet à côté de lui et enlève aussi mon slip.
La tête levée vers le jet, il se tourne vers moi en me disant :
"Ça fait du bien!".
Moi, je regarde un sexe long, fin, surmonté d'une fine toison blonde qui me fait bander légèrement. Il me dit :
" - C'est dommage que ça soit fermé, j'aurais bien piqué une tête.
" -Pas de problème, c'est moi qui ai les clés. On y va si tu veux. Passe devant".
Il se baisse pour prendre son maillot.
" -Laisse, lui dis-je, on est seuls. - OK, me répond t-il, en partant vers le bassin.
Je crois que je vais exploser en voyant devant moi ses fesses excitantes tanguer à chacun de ses pas.
Arrivés au bassin, j'essaie tant bien que mal de dissimuler mon érection mais il se retourne, regarde mon sexe et me dit :
"On dirait que t'as la trique?"
Je vois son sexe à demi levé et lui réponds :
"Je suis pas le seul apparemment!".
Il se cabre sur le bord du bassin faisant ressortir ses tétons, ses fesses et son sexe et me dit :

"Concours sur une longueur. Le perdant a un gage!
- D'ac'. Plonge! je te laisse partir!".
Je le regarde se mettre en position et, d'une puissante détente, son corps pénètre dans l'eau.
Je le suis, le rattrape, le dépasse et l'attends sur sa ligne.
À l'arrivée, emporté par son élan il me heurte et je sens son corps se coller au mien.
Comme il n'a pas pied et que je l'empêche d'atteindre la bordure, il se colle à moi.
Je sens son sexe tendu heurter mes abdos et sa poitrine se coller à la mienne.
Mes mains s'emparent de ses fesses et nos bouches s'enlacent.
Il plonge et sa bouche entoure mon sexe.
Nous chahutons un moment, puis je le soulève et l'assied sur le bord du bassin, son sexe tendu comme un chêne à portée de ma bouche.
Je l'engloutis en de longs va-et-vient.
Je l'abandonne, monte sur le carrelage et nous commençons un long 69.
Au bout d'un moment, je lui écarte les cuisses et lèche cette raie dont j'ai envie et que, seul, un fin duvet blond longe.
Je le mouille un max puis le retourne en levrette, poitrine posée sur un plot. Il remue lentement la croupe reins cambrés et mon gland s'approche et frotte sa raie puis sa rondelle. Il se recule alors pour s'empaler sur moi et je le lime à fond en de grands mouvements secs, mes couilles heurtant ses fesses à chaque fois. Mes deux mains pincent et tordent ses tétons, lui arrachant des petits cris qui m'excitent. Je ne tarde pas à jouir longuement en de puissantes décharges dans son cul.
Il se retire de moi, se lève et me fait mettre à sa place.
J'ai le cul en feu en voyant son sexe tendu à craquer, décalotté avec un gland écarlate.
À peine en position, sa langue me fouille et, rapidement, son sexe m'envahit pendant que sa main masse mes bourses.
J'ai l'impression qu'à chaque mouvement un feu délicieux m'envahit.
Je sens son sexe durcir encore plus, puis il se retire, me retourne et, en quelques mouvements, m'inonde le torse de son sperme chaud.
Nous nous léchons un moment, puis regagnons les douches où nous nous savonnons mutuellement.
Notre excitation revenant, nous recommençons longuement à faire l'amour sous le jet d'eau chaude.
Je suis parti à la fin de la saison.
Il s'appelait Mickaël...