Arrivé à la case, je m'allongeais sur le lit. Je ne portais qu'un mini slip noir duquel émergeaient quelques poils. La chaleur étant très lourde, je laissai la porte entrouverte. 
Bercé par le bruit des vagues, j'allais m'endormir, quand, soudain, un bruit de feuilles me fit sursauter. Un homme se tenait debout dans l'ouverture de la porte. 
Grâce à la lumière de la pleine lune, je reconnus la silhouette que j'avais croisée sur mon chemin. Je pouvais mieux voir ses traits: c'était un grand métis, très barraqué, les épaules larges, les cheveux courts. Il portait un tee-shirt rouge et un short de sport. 
Il s'approcha du lit sans un mot. 
J'étais pétrifié. 
Que voulait-il ? Me voler ? Me faire du mal ? 
Comme il faisait noir, je distinguais assez mal ses intentions. Portait-il une arme ? Je ne bougeais pas, ne criai pas! A quoi bon! Ma voix aurait été couverte par le bruit des vagues. 

Il s'assit sur mon lit et, toujours sans prononcer une seule parole, commença à me caresser les jambes. 
Un sentiment trouble m'envahit: plaisir mêlé de crainte. Je frissonnais.
Sa main droite remonta le long de mes jambes, puis s'arrêta sur mes couilles. Je ne pouvais empêcher ma bite de commencer à gonfler. Il s'en aperçu et je vis un large sourire sur son visage. 
De sa main gauche, il me caressait les cheveux, la joue, la bouche. Je pus résister à l'envie de lui lécher les doigts. Son index se posa sur ma bouche et je me mis à le lui sucer goulûment. 
Il se mit debout et, de sa main libre, il baissa doucement son short de sport découvrant ainsi la plus grosse queue que je n'avais jamais vue. 
Il retira son doigt de ma bouche et le remplaça par sa bite. Elle n'était pas très longue, mais épaisse, le gland bien dégagé. 
Alors qu'il me défonçait la bouche par ses va-et-vient, je sentais ses couilles cogner lèvres. J'entendais qu'il étouffait quelques gémissements. 
J'osais alors mettre mes mains autour de ses hanches pour accompagner le mouvement. Devenant plus sûr de moi-même, conscient de ses intentions, je lui caressai les fesses. Elles étaient fermes, rebondies. 
J'allais me hasarder à laisser mes doigts filer vers son petit trou quand, soudain, il se recula et me fit tourner sur le ventre. Je ne pesais pas lourd entre ses mains! 
A ce moment là, il m'arracha brutalement le slip, sans ménagement, et s'allongea sur moi. J'étais nu, lui avait conservé son tee-shirt. Je sentais sa bite chercher mon trou. Je sentais son souffle dans mon cou, son odeur salée... 
Très vite il arriva à ses fins. 
Son énorme sexe me déchirait maintenant le cul, ses doigts dans ma bouche. 
Puis dans un râle, il se déchargea sur mon dos. 
Je n'eus pas le temps de me retourner,
 que, déjà, il était reparti dans la nuit. Ma première journée de vacances avait bien commencé et laissait entrevoir un séjour prometteur.