Il m'a dit que l'éducation serait progressive et qu'il allait me dresser mois par mois à de nouvelles pratiques. Pendant le premier mois, c'était facile, je devais être toujours prêt à le recevoir. Il venait sans prévenir à n'importe quelle heure. Je devais être clean et graissé. Le deuxième mois, j'ai commencé a recevoir des coups sur l'ensemble du corps. Ca a été très dur de supporter les coups sur les couilles. Le troisième mois, les coups étaient plus dur et j'ai commencé a lui servir de pissotière. Les quatrième et cinquième mois ont été les plus durs. J'ai du apprendre à servir de PQ pour commencer puis a devenir un chiotte complet. J'ai eu beaucoup de mal a pouvoir obéir, et j'ai reçu un bon nombre de raclées. Mais souvent il me disait que j'était un bon esclave et que mon éducation le satisfaisait. Alors ca me donnait du courage pour progresser. Les sixième, septième et huitième mois Il a commencé a m'attacher et a me travailler le corps. Travail des couilles, du cul et de la queue. Le travail des seins ne l'intéressait pas. Étirement des couilles, sondes de queue, élargissement du cul . Electricité dans le cul et sur les couilles. A partir de ce moment là, il a considéré que j'était prêt a affronter le monde comme il disait. Il venait avec d'autre mecs et me donnait a eux. Il me faisait mettre a poil sur les quais (c'etait a BORDEAUX) la nuit pour servir de vide couilles aux mecs.  

J'étais à ses ordres, je faisais se qu'il me demandait. J'étais heureux de lui appartenir. A la fin de mes courts je me dépêchais de rentrer chez moi et je me préparais pour être à sa disposition s'il décidait de venir. La fin de l'année étudiante est arrivée trop vite. Il m'a alors dit qu'il voulait profiter de son esclave encore un peu. Il m'a dit que j'allais passer mes vacances avec lui. J'étais hyper heureux de pouvoir être a son service encore deux mois.  

Il m'a dit qu'il était garagiste et que j'allais lui servir. Le vendredi soir, à la fin de mon dernier cours, j'ai rapidement déménagé mon appartement étudiant durant le week-end et je suis venu en train puis à pieds à son garage le dimanche soir a 22h comme il me l'avait demandé. Il m'a fait entrer dans le garage, m'a foutu a poil et m'a confisqué fringues et papiers. Ensuite il m'a rasé intégralement y compris la tête. Il m'a donné une combinaison de mécano crasseuse. Il m'a dicté les nouvelles règles. De 7h a 19h durant la semaine, je devait porter la combinaison et le chaussures de sécurité sans rien d'autre. Je devait lui obéir, ainsi qu'a ses deux ouvriers. Dés la fermeture du garage, je devais me foutre a poil , me graisser le cul devant eux et aller me mettre a quatre pattes dans les chiottes, le cul vers la porte et la gueule au dessus du trou. Je passerait mes nuits attaché soit dans les chiottes soit dans une carcasse de bagnole derrière le garage. Je passais mes journée a bosser sous ses ordres ou ceux de ses employés. Je servais de souffre douleur, de pissotière et de PQ. Le soir dés la fermeture des portes je me mettait a poil, me penchait en avant pour montrer mon cul et me le graissait. Ensuite je fonçais me mettre a 4 pattes dans les chiotte comme le maître me l'avait demandé. S'ils en avait envie, le maître ou l'un des employés venait m'enculer ou bien les trois me passaient dessus. Parfois il arrivait que je soit prêté a un client du garage pour la nuit, ou bien que je serve de salope a un mec pour le faire patienter pendant que le mécano révisait sa caisse. Les week-end étaient parfois dur. J'ai passé deux week-end attaché et bâillonné dans le coffre d'une bagnole. J'ai passé un autre week-end dans le coffre de la voiture de mon maître. Il m'en faisait sortir lorsqu'il était sur une aire d'autoroute, un lieu de drague ou sur les quais pour que je me fasse baiser. Les autres week-end, je les ait passé enfermé dans les chiottes du garage avec visite de mon maître pour se soulager.  
Il organisa sept soirées "cassage de PD". Vers 22h il venait me chercher et j'étais laissé a la merci de trois ou quatre mecs. Ca se passait dans sont garage ou dans les bois. Il assistait au tabassage. Les mecs qu'il "recrutait" étaient des anti-PD. Il leur disait qu'il connaissait un PD a dérouiller. La seul règle qu'il indiquait était de ne pas frapper la tête. Il regardait ensuite les mecs me casser. Après le départ des mecs, il m'enculait et me faisait boire sa pisse. Puis il partait en me laissant nu sur le sol du garage. Le lendemain matin il venait un peu plus tôt pour me remettre debout, baffes et pisse pour me réveiller. Les deux mois arrivaient a leur fin. Il m'a dit que pour me remercier d'avoir été un bon esclave, il m'avait préparé un week-end d'adieu spécial. Le vendredi soir a la fermeture, je lui ai rendu la combinaison et les pompes. Un mec est arrivé. C'était un pote a lui que je n'avait jamais vu. Ils se sont approché de moi et m'ont dit que j'allais souffrir afin de ne pas les oublier. Ils m'ont attaché les pieds écartés sur le pont élévateur et les mains a deux palans puis ils m'ont écartelé. J'étais suspendu en croix. Le sadique m'a attaché les couilles très serré et a fixé la corde a un autre palan puis a tiré jusqu'à ce que je gueule. Ils m'ont graissé le cul a l'huile de vidange et ont commencé a le travaillé a tour de rôle avec des objets de plus en plus gros. 

Vers 22h ils m'ont détaché et m'ont fait boire de la vodka. Ils m'ont mis dans le coffre d'une bagnole et ils sont parti. Ils m'ont fait descendre dans une ruelle et m'ont fait entrer dans une sorte de débarras. Puis m'ont fait descendre à la cave. Là ils mont attaché sur une table, ont déposé le tube de gras a coté et sont parti. Ensuite ça a été un défilé de mecs. J'ai servi de pissotière pour la plupart, certain m'ont baisé mais assez peu par contre beaucoup ce sont amusé a m'enfiler leur bouteille de bière vide dans le cul. De temps en temps mes maître venaient me faire boire de la vodka. A partir d'un moment je n'arrivais plus à vraiment savoir se qui se passait. J'ai de vagues souvenirs d'entendre des mecs rigoler autour de moi. Je me fais réveiller par un coup de pied dans les côtes, j'étais dans les chiottes du garage, la gueule dans le trou, j'avais gerbé. Mon maître ma ordonné de nettoyer à la langue. 


J'étais encore dans les vapes car je supporte très mal l'alcool. Comme je mettais trop de temps a obéir, lui et son pote m'ont attrapé et sont allé me pendre par les bras. Ils sont revenus environ trente minutes plus tard, m'ont décroché et m'on pendu par les pieds pendant dix minutes environs (il y avait la pendule dans mon champs de vision).  

Après ce traitement, il m'ont ramené dans les chiottes, apparemment le pote de mon maître avait eu envie car j'avais deux belles surprises en plus a avaler. Mon maître m'a dit de tout bien nettoyer puis de me reposer. Il a fermé la porte et ils sont partis. Ils sont revenu a 18h. et m'ont ramené dans la cave de la veille. La, le deuxième gars est parti et je suis resté avec mon maître. Il m'a dit qu'il était fier de la crevure qu'il avait dressé et qu'il regrettait que je doive partir. Puis il a commencé a se servir de moi, un dernier tour d'honneur. Il m'a fait cadeau de sa pisse, de sa merde et de beaucoup de coups. Puis il m'a attaché sur la table, m'a graissé le cul et m'a enculé. Il s'est ensuite accroupi face a moi et ma mollardé a la gueule. "Voilà mon dernier cadeau perso. Tu es attaché dans la cave d'un bar, le pote qui est avec moi depuis hier en est le proprio. On propose ta viande aux clients. Ce soir on leur proposera de te tabasser après la fermeture. Je ne vais pas te faire boire se soir pour que tu puisses bien te souvenir de ta dernière nuit sous mes ordres". Il est sorti. Comme la veille, un bon nombre de gars sont descendus. Je servais systématiquement de sac a pisse. Je me suis fait enculer par des bites et des bouteilles de bière. Puis mon maître est venu me détacher, m'a mis dans le coffre de sa bagnole et l'on est parti. Lorsque l'on s'est arrêté, il m'a fait descendre, ont était sur une petite route. Il m'a fait agenouiller par terre. "beaucoup de mecs m'ont dit que tu était chaud du cul, je vais te le refroidir" Il m'a attaché sur le capot de la voiture, a plat ventre, les jambes bien écartées. J'avais la gueule sur le pare brise. Il est remonté et a redémarré. Il me regardait souffrir a travers le pare brise, il avait le sourire. Quand il s'est arrêté, nous étions dans un bois. Il m'a détaché. Il y avait quatre voitures et une dizaine de mecs. Mon maître ma poussé vers les gars en disant qu'ils pouvaient casser du PD mais sans taper la tête. Je me suis fait tabasser par les mecs. Coups de genoux dans les couilles, coups de poing dans le ventre, coups de pieds dans les côtes et le cul. Enfin mon maître a dit stop. Il m'a dit de m'agenouiller et de me déplacer afin de présenter ma gueule ouverte a chacun des mecs, des qu'ils me feraient signe. J'ai servi de pissotière a tous les gars. Mon maître ma ramené chez lui et pour me récompenser, m'a autorisé a dormir a coté de son lit. Je suis resté la jusqu'au jeudi matin afin de récupérer. Je ne servais plus qu'a deux choses : Le soir a l'arrivé de mon maître, je le déshabillais, je lui nettoyais à la langue les dessous de bras, les pieds, la queue et le cul. Puis jusqu'à son départs le lendemain, j'étais son chiotte. Le jeudi matin j'ai été autorisé à me laver avec du savon puis il m'a redonné mes fringues et mes papiers et je suis parti. J'ai ressenti un grand vide pendant plusieurs mois. Je n'ai jamais pu retrouver un maître digne de lui. Il savait me traiter en esclave tout en respectant ma vie étudiante. Je l'ai servi mais il n'a jamais fait quoi que se soit qui puisse entraver mes études et mon avenir. Je repense chaque jour a lui en me disant que peut être un jour je trouverais un second maître valable.